Le début de l’histoire
Comme beaucoup, j’ai commencé par un petit aquarium avec un poisson rouge, puis on m’a offert un "très grand aquarium" (de 100 litres) pour mettre des "poissons d’eau chaude". Puis mon beau frère me donne un bac de 300 litres dont j’ai changé la face avant. Un an plus tard, j’entasse des bacs de grossissements dans mon cellier, des 10 litres, 25 litres collés avec des bouts de verre de 8mm récupérés. Bref, c’est le foutoir, je mets de l’eau partout, mon CAF (coefficient d’acceptation féminin) baisse dangereusement.
Je bazarde tout pour ne garder que le bac de 300 litres dans le salon et une batterie que j’achète chez un commerçant qui veut s’en séparer.
Le bac du séjour
C’est un bac asiatique : eau douce, peu d’éclairage, plantes asiatiques (au delta près d’une ou deux anubia). LA population est composée de Betta coccina (repro), 1 couple de Betta smaragdina, Colisa lilia et chuna des Pseudophromenus cupanus et des Macropodes (opercularis et erythroptérus).
Le "locarium"
En fait il s’agit d’une buanderie dont un mur est utilisé pour ma batterie. Je l’ai acheté "en l’état". Après réfection et beaucoup de travail, elle est comme neuve. La batterie contient 4 bacs percés de 180 litres séparés par des cloisons étanches. Les changements d’eau se font automatiquement par débordement. La filtration est assurée par une M2K3 et des filtres boites à exhausteurs. Des caches permettent de masquer l’éclairage.
Dans la partie la plus haute se trouve des petits combattants rouges (B. Coccina).
Le deuxième étage et dédié aux repro. 3 bac de 60 litres.
Le troisième et quatrième sont là pour stocker des mâles et femelles B. Splendens et des alevins et juvéniles.